Votez compact LES VERTS et rajoutez mon nom une seconde fois !

mardi, septembre 29th, 2015
Le 18 octobre prochain auront lieu les élections fédérales. Les Genevois éliront donc leurs représentants au niveau national. L'occasion m'est donnée non seulement de porter au plus haut niveau politique les thèmes du climat et de l'immigration qui me tiennent à coeur, mais aussi de représenter et défendre les intérêts des Genevois dans l'arène fédérale. Le climat et l'immigration sont des enjeux globaux, mais dont les solutions peuvent se trouver aux niveaux national et local. C'est pourquoi je m'engage au Conseil municipal de la Ville de Genève notamment en tant que président de la Commission des travaux et des constructions ainsi qu'au Grand Conseil genevois, où j'occupe une place de suppléant. Je m'engage également en faveur des alternatives économiques, écologiques et sociales pour amorcer une ère post-pétrole, post-nucléaire et post-spéculative. Je vous remercie de votre soutien. Je saurai en être digne. Si vous votez Les Verts : votez compact : liste n°1 ! Dans tous les cas sachez que vous pouvez inscrire 2 x mon nom sur la liste de votre choix.

En campagne pour Berne!

 

Votez compact LES Vert
et rajoutez mon nom une seconde fois !

La campagne du Conseil national entre dans sa dernière phase.

Comme vous le savez certainement je suis candidat. La politique fédérale m’intéresse depuis longtemps et aujourd’hui nous devons faire face à des défis importants. Nous devons avancer vite vers une société de l’après-pétrole et de l’après-nucléaire, et vers une société durable et solidaire.

Seul un groupe politique vert fort nous permettra d’influencer de manière sensible les grands dossiers de la prochaine législature que ce soit dans le domaine énergétique, climatique, migratoire, ainsi que la défense des droits fondamentaux pour toutes et tous : il faut donc voter et faire voter.

 

Pour que le vote soit utile, il faut voter compact, soit en prenant la liste des Verts soit en prenant la liste officielle (vierge) et en inscrivant en haut Liste n°1 : LES VERTS. Pour le premier tour du Conseil des Etats, il est également essentiel de voter compact pour Robert Cramer et Liliane Maury-Pasquier.

Par ailleurs il vous est possible de privilégier l’une ou l’autre candidature en doublant des noms, c’est-à-dire en inscrivant une deuxième fois un nom sur la liste des Verts ou deux fois sur la liste officielle.

Nous sommes à un tournant de société et de civilisation. C’est un enjeu fondamental et un défi que je me réjouis de relever au Conseil national.

Interview Léman Bleu « les yeux dans les yeux » lundi 28 septembre #jeanrossiaud #VotezVerts #EF2015

Je vous remercie de votre soutien. Je saurai en être digne.

Si vous votez  Les Verts : votez compact : liste n°1 !

Dans tous les cas, vous pouvez inscrire 2 x mon nom sur la liste de votre choix.

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Conseil National – dernière ligne droite!

lundi, septembre 28th, 2015

PouJR CN15r les élections au Conseil national du 18 octobre prochain, j’aborde maintenant la dernière ligne droite !

Chères Amies et chers Amis,
Et à vous toutes et tous qui voterez pour les Verts et pour moi,

La politique fédérale m’intéresse depuis longtemps. Depuis une douzaine d’années, d’abord en tant que Délégué des Verts suisses au Parti Vert européen, puis au Global Greens, je suis membre du bureau des Verts suisses.

J’ai donc apprivoisé peu à peu la politique suisse : sa culture, ses enjeux, l’attention constante que l’on doit porter pour écouter l’autre « vraiment » et pour nous enrichir réciproquement de notre diversité.

Je ne sais pas si la Suisse, telle que nous connaissons aujourd’hui, existera encore dans 25 ou 30 ans, mais je suis convaincu qu’il y a un réel enjeu à défendre notre modèle politique et culturel.

En effet, la Suisse sait non seulement s’adapter à un monde en rapide mutation, mais elle montre aussi et surtout qu’il est lui possible de rester « elle-même » sur une planète toujours plus inerconnectée. Qu’il est possible de ne pas sacrifier la démocratie directe sur l’autel de la mondialisation des marchés.

C’est un enjeu fondamental et un défi que je me réjouis de relever au Conseil national.

La Suisse d’aujourd’hui est très différente de celle d’il y a 20 ou 30 ans. Les Villes s’y font davantage entendre, la Suisse romande y est moins marginale qu’on le dit, le « Roestigraben » est moins profond que le clivage ville / campagne. Mais surtout la politique y est plus fédérale qu’avant et les enjeux sont toujours liés au contexte européen et transnational.

Spécialiste de la mondialisation, et très engagé dans les réseaux verts et les mouvements sociaux européens et mondiaux, je sais que c’est à Berne que se posent pour la Suisse, mais également pour Genève, les enjeux les plus cruciaux pour notre avenir durable, pour notre bien-être et notre bien-vivre, pour notre démocratie et notre solidarité.

Premier enjeu : la transition vers la société responsable de l’après-gaspillage : un monde post-pétrole, post-nucléaire, un monde post-spéculatif, un monde « durable », tout simplement. Je sais, pour participer activement à la mobilisation sur le Climat, à Genève dans Alternatiba et dans le lancement de la nouvelle monnaie citoyenne, le Léman, ainsi que sur le plan international dans la Coalition internationale des ONG sur le Climat, je sais, que la pression parlementaire est très utile; et que nous les Verts y jouons les premiers rôles. Dans ce domaine, je me réjouis de participer activement à cette « guérilla parlementaire », nécessaire pour faire avancer concrètement nos idées.

Second enjeu : pour construire la Suisse de demain, il faut penser la Suisse dans son intégration dans le monde et, dans cet objectif, concevoir la migration en Suisse comme un atout fondamental. Vous le savez peut-être, je suis originaire d’Algérie. C’est la guerre qui nous a fait fuir et c’est à Genève que mes parents ont décidé de s’installer. Je les en remercie encore très souvent en pensée, car Genève et la Suisse sont un terreau fantastique pour les migrants et les exilés. Et ceux-ci le savent et le reconnaissent! Mais, inversement, la politique suisse n’a pas encore compris l’importance de valoriser les personnes venues d’autres horizons, en en faisant à la fois des passeurs pour l’intégration des nouveaux arrivants, et des ambassadeurs de la solidarité suisse à l’étranger. La petite association que je préside « migrACTions » poursuit cet objectif.

J’ai opéré il y a dix-huit mois une bifurcation de carrière, qui me permet aujourd’hui, professionnellement, de travailler et de m’engager sur ce qui me tient le plus à coeur: le climat, la migration, la démocratie.

Désormais dans la force de l’âge, je peux nouer ensemble ma compétence académique et mon expérience politique avec une toute nouvelle disponibilité (les enfants prenant peu à peu leur envol). Cette disponibilité je la mets au service de mes idées. Vice-président des Verts Ville, Conseiller municipal en Ville de Genève depuis le premier juin dernier et député suppléant au Grand Conseil, mon engagement dans la campagne au Conseil National n’est que le prolongement naturel d’un engagement de longue date pour l’écologie et la solidarité.

Enfin, je dois vous dire que j’ai envie d’aller à Berne, de ferrailler en commission (par prédilection : les Affaires étrangères ou à la Commission de gestion – j’ai adoré présider celle du Grand conseil) et de préparer mes interventions, mes entretiens et mes discours dans la Berne fédérale.

Je vous remercie de votre soutien. Je saurai en être digne.

Si vous votez  Les Verts : votez compact : liste n°1 !

Dans tous les cas sachez que vous pouvez inscrire 2 x mon nom sur la liste de votre choix.

#jeanrossiaud #VotezVerts #EF2015

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Victoire politique écologiste!

dimanche, septembre 13th, 2015

Les Verts et des partis de défense de l’environnement et des animaux, une force politique qui compte

Le clonage devrait être banni au sein de l’Union européenne. Le Parlement européen a en effet adopté une loi allant dans ce sens, ce mardi 8 septembre, à 529 députés contre 120. La viande de descendants d’animaux clonés serait également interdite, ce qui signifie que les Etats-Unis, le Brésil ou encore l’Argentine ne pourraient plus exporter une telle viande en direction de l’Europe.

Toutefois, un bras de fer commence à présent : Commission européenne et le Conseil des Ministres, peu favorable à l’interdiction du clonage, doivent encore avaliser la décision du Parlement.

Le bien-être de l’animal est crucial : le clonage est une torture. Les fœtus créés in vitro sont souvent gros et rendent ainsi la mise bas douloureuse pour les mères. Par ailleurs, le taux de succès du clonage est extrêmement faible : il va de 6% à 15% dans le meilleur des cas. En moyenne, seul un animal sur dix survit donc au clonage.

Puis, même s’il n’a pas encore été prouvé que le clonage met en péril notre sécurité alimentaire et que l’enjeu éthique prédomine, adopter un principe de précaution est un impératif.

La coalition des socio-démocrates, des libéraux et des conservateurs veut renforcer le libre échange au détriment de la santé, de l’agriculture et de l’environnement.

La population, dans l’Union européenne comme en Suisse, est, dans sa majorité, fortement opposée au clonage des animaux. Il faut donc que les opinions publiques fassent pression dans chaque pays pour maintenir la décision du Parlement européen.

En tant que candidat au Conseil national et que Vert européen, je peux vous assurer que les Verts resteront partout vigilants pour interdire le clonage animal !

 

Ecouter ici l’émission Forum du 11 septembre sur le clonage

Les votations du 14 juin

mardi, juin 9th, 2015

Objets fédéraux 4 x oui :
le plaisir d’être un Ja-sager fédéral

 

OUI à l’impôt sur les successions !

RemarqLesVerts_Vota14Juin_JeanRossiaudue préalable, l’initiative ne concerne que les successions à partir de 2 millions, l’héritage par un conjoint étant exonéré. Ils seraient alors imposés à un taux de 20%, taux relativement bas au niveau international et ainsi compétitif. L’initiative comporte également un effet rétroactif – soit à partir du 1er janvier 2012. Deux tiers des recettes iraient à l’AVS, un tiers aux cantons. Seuls 2% de la population seraient concernés par cette initiative. Resteront exonérées les familles – puisque 2 millions de franchise –, les entreprises familiales et les PME – puisque franchise supplémentaire et taux d’imposition réduit – ainsi que les exploitations agricoles. Les cantons, perdant leurs prérogatives en matière de recettes d’impôts cantonaux sur les successions, seront donc dédommagés à raison d’un tiers.

Au nom de l’égalité et de la solidarité, il est impératif de voter en faveur de l’initiative. En effet, la répartition des richesses en Suisse est très inégale : 1% de la population possède autant de richesses que 99%. Il en va également de la responsabilité financière des familles les mieux dotées envers le reste de la société qui a permis autant d’accumulation de richesses.

Par ailleurs, avec une telle initiative, les primes AVS versées par les actuels cotisants seront revues à la baisse et l’AVS elle-même assurée à long terme puisque deux tiers des impôts successoraux iront à l’AVS.

OUI aux bourses d’étude !

Harmoniser un système qui comprend des disparités cantonales, parfois importantes, injustifiées. En pratique, des élèves d’une même haute école, parce qu’ils ne viennent pas tous du même canton, reçoivent des montants différents. De même, les critères d’obtention de telles aides ne sont pas identiques dans tous les cantons.

Les bourses restent une aide indispensable qu’il convient de ne pas revoir à la baisse puisque, même actuellement, elles ne garantissent pas un minimum vital. Accepter l’initiative, c’est aussi éviter que la possibilité d’étudier ne dépende du porte-monnaie des parents, et ainsi éviter la reproduction sociale. Il en va de l’égalité des chances.

Enfin, ces bourses sont nécessaires pour l’économie du pays, en ce sens qu’elles représentent un investissement.

OUI au diagnostic préimplantatoire (DPI) !

Adopter cet arrêté est une nécessité du moment que l’on considère que l’on doit respect et protection aux enfants à naître. Par ailleurs, un « oui » permettrait de mettre fin au tourisme en matière de procréation médicalement assistée qui existe actuellement.

Petit rappel : L’analyse in utero des embryons est possible, mais pas l’analyse in vitro. Une situation paradoxale puisque, avec une analyse in vitro, des dommages ultérieurs comme une intervention risquée ou encore une interruption de grossesse peuvent être évités.

À signaler qu’un « oui » glissé dans les urnes le 14 juin laisse tout de même de nombreuses questions en suspens, notamment en ce qui concerne les cas dans lesquels le DPI peut être utilisé, éléments qui seront discutés dans le cadre de la loi sur la procréation médicalement assistée.

OUI à une radio – télévision publique de qualité (LRTV)

Etant donné la configuration actuelle où tout le monde peut, depuis n’importe où, recevoir la télévision et la radio, que ce soit depuis les ordinateurs, smartphones ou tablettes, il convient de mettre fin à un système dépassé et inéquitable. Avec cette révision, la redevance ne sera plus liée à l’existence d’un récepteur.

Trois bonnes raisons d’adopter la nouvelle formule.

Premièrement, elle permettrait d’harmoniser, de répartir équitablement les charges des services publics que sont la radio et la télévision.

Deuxièmement, elle permet  de mettre fin aux inégalités actuelles qui existent entre les « fraudeurs » sans récepteurs – c’est -à-dire ceux qui en profitent sans avoir de support classique comme une radio ou une télévision – et les possesseurs de récepteurs classiques.

Troisièmement, une telle mesure constituerait une opportunité de réduire les coûts et ainsi de payer moins. Avec une redevance assumée par tout le monde – hormis pour les personnes à l’AVS/AI, les résidants d’institutions ou d’EMS, ou encore pour les entreprises dont le chiffre d’affaire n’excède pas 500’000 francs –, la fin des contrôles et des procédures de résiliation au moment d’un déménagement sont autant de moyens de faire baisser les coûts administratifs liés à la redevance.

Pour plus de détail : la position des Verts suisses

Votation cantonale : il faut dire NON à la spéculation!

NON à la modification de la LDTR

Ce que prétend autoriser la nouvelle loi, à savoir la possibilité de transformer des bureaux en logement, est déjà permis par la loi actuelle. De plus, cette révision menace le contrôle des loyers de ces logements. Actuellement, ils sont contrôlés pendant trois à cinq ans. Avec la modification de la LDTR, ce garde-fou disparaîtrait et le montant des loyers dépendrait alors du bon vouloir des promoteurs.

Il n’est donc pas admissible de laisser le champ libre aux promoteurs. Plus encore, ce serait la porte ouverte à la spéculation : les investisseurs de ces bureaux pourraient spéculer sur la crise du logement, transformant des bureaux en logements hors de prix.

Pour plus de détail : la position du Comité référendaire

Election au Conseil municipal : merci de votre confiance!

mardi, juin 2nd, 2015

Chères amies, chers amis,

Le 2 juin dernier, j’ai prêté serment devant le Conseil municipal de la Ville. Mercredi 17 juin, j’ai pris part à ma première séance de la Commission des travaux et des constructions à la tête de laquelle j’ai été élu.

Je tiens à remercier très chaleureusement les électrices et les électeurs qui m’ont donné leur confiance. Pour les représenter au plus près de leurs valeurs et de leurs intérêts, je mettrai mon énergie et mes compétences au service de nos idées.

Merci à toutes l’équipe des candidat-e-s verts au Conseil municipal (cf. photo): nous avons fait un travail formidable!

La démocratie représentative est en crise. Une grande partie de l’électorat préfère ne pas voter. Nous savons donc, nous autres élu-e-s, que nous ne représentons pas tout le monde, et que cela nous pose un problème de légitimité.

Les Verts ont toujours voulu faire de la politique « autrement ». Je m’inscris dans cette philosophie. Tout d’abord, il faut prendre à la lettre ce qu’est un parlement de milice. Cela consiste à déployer parallèlement à l’action politique d’élu-e, un engagement professionnel fondé sur la responsabilité et un enracinement de long terme dans la société civile organisée. Je resterai professionnellement engagé dans le Forum pour une nouvelle gouvernance mondiale et je poursuivrai dans le milieu associatif mes combats pour le climat, pour la défense de l’économie locale, pour les droits fondamentaux.

Faire de la politique « autrement », c’est aussi être capable de nouer un dialogue permanent avec les habitants. Bien sûr, je continuerai à faire signer des pétitions et des initiatives sur les stands, je participerai à des conférences : autant d’occasions pour vous de venir discuter avec moi de ce qui vous tient à cœur.

Ce site sera également une bonne manière pour celles et ceux qui le désirent de me faire part de leurs inquiétudes et de leurs désirs politiques, de leurs projets et de leurs indignations. Dans la mesure du possible, je m’engage à y répondre.

Faire de la politique autrement, c’est faire mouvement autour des élu-e-s, de nous pousser à tenir compte de la diversité des intérêts particuliers pour dégager des politiques d’intérêt public.

Mais quel intérêt public ?

Celles et ceux qui m’ont fait confiance savent que ma vision de l’écologie n’est pas compatible avec une croissance de la consommation de biens matériels, n’est pas compatible avec l’utilisation à moyen terme des énergies fossiles et du nucléaire, n’est pas compatible avec une économie et une finance spéculatives.

Celles et ceux qui m’ont fait confiance savent que je n’accepterai aucun projet qui pourrait fragiliser les plus fragiles d’entre nous, qui entamerait les ressources des générations futures ou qui engendrerait des discriminations, quelles qu’en soient l’origine.

Utilisez ce site pour « faire mouvement » autour des idées qui nous rassemblent ! Merci de m’avoir élu, mais ne me laissez pas tout seul… Notre tâche est trop grande pour ne pas nous y mettre toutes et tous ensemble.