Engagement politique

Parallèlement à ses engagements intellectuels et associatifs, Jean Rossiaud s’est engagé depuis le début des année 1990 dans un parti politique institutionnel, les Verts ; et ceci, tant sur le plan local, notamment à Genève, que sur les plans européen et international.

Entré au Parti vert genevois (Parti écologiste genevois) en 1991, il a été fondateur des Verts de Carouge (1991), membre du Comité des Verts genevois entre 1994 et 1996 et Député au Grand Conseil (parlement) du Canton de Genève (2003-2009).

Il a été candidat aux élections fédérales de 2007 et 2015. Aux élections législatives genevoises d’octobre 2013 il est élu député suppléant. Depuis juin 2015 il siège au Conseil municipal.

Délégué des Verts suisses aux Parti Vert Européen depuis 2003 (PVE/EGP), et membre à ce titre du Bureau des Verts suisses, il a été élu le 12 mai 2013, par le Conseil du Parti vert européen, comme l’un de ces trois représentants à la Coordination mondiale des Partis verts (Global Greens Coordination) pour la période 2013-2016 ; il en a été suppléant de 2010 à 2013.

Par ailleurs, Jean Rossiaud est un des précurseurs du miltantisme trans-frontalier, et Genève est une beau lieu pour mettre en pratique cette idée. Il participe à la formation d’une liste transfrontalière de Suisses résident en France voisine, lors des élections fédérales de 2011. Cependant, profitant du fait que pour la première fois en 2012, les Français de l’étranger peuvent se présenter aux élections législatives françaises. Il fonde, en tant que Français, avec Ximena Kaiser Morris, la section « Suisse / Liechtenstein » d’Europe Ecologie Les Verts (Région Hors de France). Ximena se présente comme candidate et Jean sera son suppléant. Il font un score honorable en mai 2012, terminant en 3ème position, derrière la candidate (élue) de l’UMP et celle du Parti socialiste. En janvier 2017 il se présente à son tour aux législatives pour le mouvement de la transition, soutenu par EELV.